vendredi 14 décembre 2007

Le ventre annonce la transhumance en héritage, il faut se souvenir du premier cri ou du dernier.
C'est zéro.
Les artères en équinoxe et revers de lune qui meurent en petits bouquets d'ignorance,balivernes plurielles et dissipées, et qui cherchent au bout d'une corde la fin de son histoire.


L'espace d'une seconde,
mais quel espace des jeux entre adultes consentants,
ils épilent les miroirs
et recevoir l'image même de l'antique présence
comme mourir par inadvertance ou volontairement qu'en sais-je?
des cailloux échevelés brossés dans des tiroirs
enfermés entre deux culottes sans avenir et trois boutons-pression appelés aussi le corps.


Et puis après les violons explosés au rabais, j'ignore son sens dessus dessous, ce qui compte ou blesse, c'est à la surface lisse et cabossé je prends j'aime trop les surfaces il faut que tu ranges ta chambre à gaz, allumer le gaz et recevoir la respiration.


Marche sur les mains, jeune pousse! dévoré par l'asphalte et le béton, je m'emmure sur le sol ou sur une pierre restée en l'air - pur, l'idiot du village le respire à plein poumons, c'est dire comme je m'empiffre pour faire un super manteau d'hiver, ouais! il est évident que la nuit demeure comme la parenthèse qui accomplit le verbe, le quotidien qui rend fou.


brûle tes meubles, sans toucher à la fraîcheur du bois et revenir sur le dernier sentier ou la dernière chance ou pas de se racheter, la morale on s'en branle furieusement, on lui pisse à la raie
et des arbres à cadavres exilés.

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