La page s’ouvre dans l’élan du matin
Le blanc de l’œil
Recouvre la sphère
Je neige
Noir
Et les flocons coulent en fils de pensée
Appliqués sur la glace de l’hiver
L’encre se ramifie en dentelle de nuit
Des lignes d’ombre pour circonscrire le silence
Les mailles et les portées ne garderont du désert qu’un battement de lune
dimanche 24 mai 2009
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