dénivelé
de l'esprit
au corps
ce qui dévale
se brise
et
ricoche depuis
l'air ambiant
pour se planter
là
dans le mou
on loge des échardes
et des empreintes de feu
on est
sourd au timbre
de la langue
sous chair
caisson de temps
ou le temps même
se nourrit
de silence
néon de l'os
coupé
de sa lumière
mardi 8 juin 2010
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