Et on s'invitait
à la table
il y avait la mort
et tout
ce qui te précède
pour se contredire
il eut fallu
que je parle
on en mangeait
du silence
puis
tu
m'avortais
(jusqu'à plus soif)
nous n'étions pas seule
mais
il y a désormais entre nous
la centaine d'espace
et le combat impossible
que de marcher
Laurence ta poésie nous manque à Toulouse,heureusement je retrouve ta plume dans votre dépliant, tes articles sont de trés bonne qualité..
RépondreSupprimermais à quand une lecture?
Pascal