jeudi 17 septembre 2009

extrait

[...]

au préalable
arme-toi jusqu'aux dents qu'aux détails
que ton proche le plus proche
ton lointain le plus lointain,
leur moyenne arithmétique

sache

[...]

2 commentaires:

  1. Cher Matthieu, je ne suis pas sur d'avoir bien compris ton poème. J'aime bien ta spontanéité syntaxique. Je suis moi même assez friand des trouvailles et des jeux sur la syntaxe. Je suis actuellement en clinique psychiatrique car lorsque je suis rentré de Rome je m'étais mis en tête que ma belle mère s'était approprié l'esprit du chat de ma mère. J'en rirais bien mais je sais pas trop s' il faut rire de ces trucs là. Quoique. Peut être pas tout de suite. Par contre ce qu'il faut que tu saches c'est que je suis pour l'échange, le partage, la collaboration et les amis. Le temps n'est pas encore venu. Je suis toujours un peu à côté de mes pompes. Mes préoccupations du moment portent sur le relativisme et le nihilisme en matières musicales. A explorer. A+.

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  2. Je viens de relire ton poème, ainsi que celui de Pierre. Je suis parano. Evidemment. Je ne viendrais à vous, si vous acceptez un salopard, que lorsque mon projet, l'intégrité de mon être, mes barrières psychiques, seront solides. J'ai beaucoup d'intensité et d'énergie à partager; ainsi qu'une croyance inébranlable en l'activité poétique; en sa capacité à pouvoir reconstruire métaphysiquement le monde. Seul les poètes sont métaphysiciens. Platon et les dialecticiens peuvent aller se faire foutre.

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